Patrick ALECIAN, Emmanuelle GRANIER
Avec la participation de Laetitia ALBERTINI, Jane APARECIDA GIORGETTI VALENTE, Rebecca ATTIAS, Julien BANCILHON, Valeria BARBOSA, Christine BARSSE, Agathe BENOIT, Hervé BENTATA, Joanne BERGMANN-BILLIG, Juliette BIRNESSER, Malika BOUCHIHAN, Jean-Marc BOUVILLE, Guillaume BRONSARD, Nathalie BRUNEAU, Boris CHAFFEL, Nadira CHERIFI, Michael CHOCRON, Guillaume CORDUAN, Florent COSSERON, Michel GROLLIER, Véronique LACCOURREYE, Samuel LE MEVEL, Malika MANSOURI, MARIE-JO MARTINEZ, Françoise MEYER, Claude-France MINOT, Georges PICHEROT, Sophie RABOURDIN, Armelle RIVOAL, Clotilde ROUSSILLE, Sophie STAVROULAKIS, Léa TALABARD, Alice TITIA RIZZI, Dominique TOURRES-LANDMAN, Claire VIARDOT, Jeremy WIEST
d’autres termes, la mixité pose la question de l’autre dans sa similarité et dans sa différence, celle du semblable mais aussi de l’étranger. La reconnaissance des différences nous confronte à nos désirs et nos limites. Ces questions se posent certes à chacun d’entre nous, mais l’adolescence y est particulièrement confrontée. Elles génèrent des paradoxes riches d’enseignements :
- Paradoxe propre à chaque adolescent confronté aux questions de son développement corporel face à sa construction psychique et identitaire ;
- Paradoxe institutionnel pour les Maisons des adolescents, des dispositifs par essence mixtes puisque issus des champs sanitaires, socio-éducatifs, pédagogiques ;
- Paradoxes sociétaux dus aux mixités sociales, culturelles, socio-économiques, linguistiques.
Ce dossier est constitué à la suite des 7ème journées nationales des Maisons des adolescents.