Avec la participation de Paul-Laurent ASSOUN, Antoine BIOY, Mikaël BONNANT, Marie-Hélène BUSSAC-GARAT, Marie-Paule CHEVALERIAS, Guy CHOURAQUI, Lauriane COURBIN, Nathalie DE KERNIER, Bernard DUEZ, Roland GORI, Line Mai GRANN, Stéphane GUMPPER, Romuald HAMON, Lucien HOUNKPATIN, Lyasmine KESSACI, Laurie LAUFER, Sylvie LE POULICHET, Colette LHOMME-RIGAUD, Pascale MACARY-GARIPUY, François MARTY, Georgia PANDOULA-KAFCHITSAS, Avner PEREZ, Laure RAZON, Joëlle ROSEMAN, Laura SOKOLOWSKY, Éric SOUTIF, Martine SPIESS, Nicolas TAJAN, Éric TOUBIANA, Bérénice VANNESSON
"Que le sujet soit, de structure, en position d'imposture, n'implique pas qu'il assume toujours de la même façon cette position. Qu'il s'en arrange et en vive, le mène tout droit sur les rives de l'imposture dite « pathologique ». Ce qui éclaire certainement d'un jour nouveau le rapport de la science à l'imposture, la science en acceptant de jouer le rôle de garante de la vérité, ne peut que la mettre alors en position d'imposture structurelle. Position dont elle cherche ensuite à se démettre en en accusant « l'autre », par exemple sous couvert d'« évaluation ». Ce siècle naissant, s'il entend se donner la science pour religion, ne peut dès lors que faire le lit, et le succès annoncé, de l'imposture - précisément."