Lin GRIMAUD, Madeleine LEFEBVRE, Colette MILON-AGUTTES
Avec la participation de Jean-Sébastien ALIX, Nicolas AMADIO, Pierre ARTOIS, Martine BEAUVAIS, Didier BICHUE, Youcef BOUDJEMAI, Vincent BUORO, Anne-Marie CAIRE, Cendrine CARRER, Gérard CHIMISANAS, Bertrand DUBREUIL, Adeline HOUGRON, Lionel LACAZE, Valérie LAMOUREUX, Éliane LEPLAY, Jean-René LOUBAT, Noëlle PORTETS, Rémy PUYUELO, Corinne SAINT-MARTIN, Mustapha SAMR, Gyslaine SAMSON-SAULNIER, Laura SIMSOLO, Patrick VIOLLET
Dans le contexte global de dérégulation économique et politique, à une période où s'imposent les logiques gestionnaires et les exigences de rentabilité et d'organisation, il est évident qu'on assiste à une réorientation de la commande politique faite au travail social. L'injonction d'une gestion plus performante constitue un indicateur majeur de cette réorientation. Il convient d'en examiner avec précision les modalités, l'implication et les conséquences.
La performance se définit autour de trois axes : la maîtrise des dépenses, la simplification des procédures et la recherche de la qualité des services. Assiste-t-on à la disparition ou au renouvellement des pratiques cliniques en travail social ? Ainsi, s'agit-il de repérer les pratiques menacées et, à l'opposé, les initiatives dues à l'introduction de nouveaux modèles.