Dominique LHUILIER, Hélène Yvonne MEYNAUD
Avec la participation de Marie ALDERSON, Gilles AMADO, Gilles ARNAUD, François AUBRY, Louis-Marie BARNIER, Yves BAUNAY, Montaha BEN KACEM, Cécile BRIEC, Carolina CANO, Karine CHASSAING, François CLERC, Yves CLOT, Paula CRISTOFALO, John CULTIAUX, Gilbert DE TERSSAC, Jean-Michel DENIS, Nathalie ETHUIN, Kévin FLAMME, Fabien GACHE, Corinne GAUDART, Laure KLOETZER, Marianne LACOMBLEZ, Yannick LE QUENTREC, Arnaud MIAS, Jacques RHEAUME, Isabelle RUELLAND, Micheline SAINT-JEAN, Catherine TEIGER, Pierre-Yves THERRIAULT, Laurence THERY, Martin THIBAUT, Jean-Luc THOMAS , Karel YON
Aborder le syndicalisme comme un travail implique de le situer dans son contexte avec ses ressources et contraintes propres, de recenser les tâches à réaliser et les activités déployées, d’identifier les visées poursuivies, la diversité de ses interlocuteurs et de ses destinataires. Au cœur de ce travail se trouvent des questions essentielles : comment construire une cause collective à partir de cas particuliers ? Comment surmonter l’émiettement des situations contractuelles et la précarisation massive ? Comment maintenir les liens et la réciprocité entre syndicalisme militant et syndicalisme d’expertise ? Le syndicalisme est-il un métier, une fonction, une mission ? Quelle division du travail prévaut entre syndicalistes ? Quelles sont les formes, les voies et les risques de l’engagement dans ce travail ?