Monique BESSE, François CHOBEAUX
Avec la participation de Françoise BENARD, Yannick BENOIST, Jacques BERTON, Arsène BOLOUVI, Sylvia BOSSO, Pierre BRASSEUR, CEMEA BELGIQUE, Sandrine CIRON, Pauline DETUNCQ, André DUPRAS, Olivier FILHOL, Dominique FRIARD, David GRAND, Danièle JULIEN, Jacques LADSOUS, Carine MARAQUIN, Jean-Luc MARCHAL, Lorraine ORY, Florence PLON, Vanessa REMERY, Valérian SARREAU
Il y a les situations de mixité interdites, possibles, choisies, réfléchies, imposées…
Il y a les approches techniques de la sexualité, réduite aux relations sexuelles : contraception, assistance technique, assistance humaine…
Il y a les couples de personnes dites fragiles qui se constituent autour de l’amour et parfois de projets d’enfant qui interrogent leurs capacités de décision et de portage.
Il y a l’hyper féminisation des métiers du soin et de l’éducatif, avec à la clé des stéréotypes de genre peu réfléchis et largement reproduits.
Derrière tout cela, il y a le droit des usagers, et les risques permanents d’envahissement et de normalisation institutionnelle. À quand une recommandation de bonnes pratiques portant sur la « bonne » sexualité à la charge des institutions ? Les institutions peuvent-elles s’en mêler sans s’emmêler ?