Nahima LAIEB, Jean-Pierre MARTIN
Avec la participation de Pascal BERGER, Dominique BESNARD, Cécile BOSQUET, Olivier CADOT, Sophie CHAVANES, François CHOBEAUX, Javotte CHOMEL, Julien DENANS, Francis DESCARPENTRIES, Geneviève DUPUY, Chabier GIMENO-MONTERDE, Frédéric GUEGAN, Myriam JOEL, Jacques LADSOUS, Pascal LE REST, Julien LEON, Philippe MEDINA, Marinette MORMONT, Patrick MOUGE, Fabrice OLIVET, Mathilde POZYCKI, Jean-Marc QUIGNARD, Patrice RAFFET, Valérian SARREAU, Emmanuel SAUTEREAU, Marie-Odile SUPLIGEAU, Jean-Paul VABRE, Loic WACQUANT, Gérard ZRIBI
La prison existe, et probablement encore pour longtemps. Créée pour punir, elle est également censée être un lieu de réhabilitation de soi et de prévention des récidives. C’est ce versant « éducatif » qui la rend supportable pour notre humanité. Mais on sait ce qu’il en est en réalité : peu de travail socio-éducatif, des soins médicaux largement perfectibles, des conditions de détention indignes… Comment ceux qui y travaillent supportent-ils d’y intervenir ? Un travail qui respecte la dignité des personnes privées de liberté est-il possible en prison ? Quelles peuvent être les ouvertures portées par les intervenants du quotidien et par des intervenants associatifs extérieurs à l’institution ?