Marco CANDORE, Jean-Claude POLACK, Christiane VOLLAIRE
Avec la participation de Paul BRETECHER, Jean-Philippe CAZIER, Pierre-Antoine CHARDEL, Marie-Paule CHARDON, Laurie DASNOIS, D- DE KABAL, Zorka DOMIC, Benjamin FARHAT, Delphine LACOMBE, Elise LAMY-RESTED, Bertrand LEBEAU, Stéphane MAUGENDRE, Isabelle NIZINCOURT, Nathalie PERIN, Anne QUERRIEN, Matthieu RENAULT, Mathieu RIGOUSTE, Philippe ROY, René SCHERER, Monique SELIM, Nathalie SINELNIKOFF, TRABA, Guy TRASTOUR, Gilles VIDAL, Monique ZERBIB
Parallèlement à la question désormais classique des violences extrêmes, on s'interrogera sur les formes implicitement acceptées de violence et d’aliénation, masquées sous les oripeaux de misère, d'inégalité, d'endettement : la globalisation comme mode d'être, et les violences policières qui y sont structurellement liées.
À la croisée de l'économie politique et de l'économie libidinale, on voudrait aussi questionner les machines de désir inventives et créatrices qui en sont le contrepoint ou les lignes de résistance, les « zones à défendre » de toutes sortes, débordant les manifestations sociales, matérielles et concrètes du développement du capitalisme planétaire, par les formes d'écologie mentale qui forment son envers latent.
Quelles formes de subjectivité, qui ne se réduisent pas aux hypothèses macropolitiques marxistes et freudiennes, sont-elles produites ?