Avec la participation de Michel BOUSSEYROUX, Isaure BOUSSEYROUX, Didier CASTANET, Sylviane CERNOIS, Monique DESORMEAUX, Xavier DOUMEN, Anne FOURCADE-JOURDAIN, Julien HIRSCH, Luis IZCOVICH, Marie-José LATOUR, Serge LAZARO, Dorothée LEGRAND, Pascale LERAY, Dominique MARIN, Albert NGUYEN, Jacqueline PATOUET, Axel TUFFERY, Véronique VIALADE MARIN
Qu’on dise, le fait qu’on dise, reste oublié derrière ce qui se dit dans ce qui s’entend. Thèse forte : le dire est de la dit-mension du réel, exclu comme tel de la vérité. Le propre du dire c’est d’ex-sister au dit, dont le propre c’est être. Pas d’autre substance jouissante, derrière tout ça, que cette « stance-par-en-dessous » par laquelle l’écrit du poème (déjà chez Parménide) fait le dire moins bête. Pas de dit qui aille sans le dire, et pas de dire qui vaille sans ce qui, de la jouissance, s’écrit par en dessous. Prends note Toto, dit Lacan, si tu veux éviter l’onto –, voire l’ontotautologie.