Avec la participation de Céline ALLAFORT, Cécile ANTIGNY, Patricia ATTIGUI, Gérard BAYLE, Virginie CHAUDUN, Patrick DE SAINT-JACOB, Paul DENIS, Sosthène GODJO, Francis KATCHADOURIAN, Olivia LEMPEN, Zineb MANTRACH, Sylvain MISSONNIER, Agnès MOLARD, Michel MONTHEIL, Charlotte PERRIN-COSTANTINO, Anne-Marie PIETRI, Irina POSTOLACHE, Kérel PROUST, René ROUSSILLON, Roxana SANCA, Jean-Marc TALPIN, Laura TREICH
Les médiations thérapeutiques sont à la fois vecteurs de symbolisation et générateurs de liens : liens entre corps et psyché, liens passé-présent, liens intrapsychiques, liens intersubjectifs entre les membres d’un groupe, liens avec les équipes soignantes, etc. « L’objet médiateur n’opère que parce qu’il inscrit le processus de symbolisation qui le constitue au coeur d’une relation avec autrui comme objet transférentiel » (Chouvier, 2011). Mais à partir de quand et à quelles conditions, un groupe, utilisant une médiation, devient-il thérapeutique ? Comment penser une véritable métapsychologie pour ces dispositifs alternatifs ?