Avec la participation de Balbino BAUTISTA, Michel BOUSSEYROUX, Isaure BOUSSEYROUX, Didier CASTANET, Lucile COGNARD, Jean-Claude COSTE, Monique DESORMEAUX, Xavier DOUMEN, Anne FOURCADE-JOURDAIN, Dina GERMANOS BESSON, Yvette GOLDBERGER-JOSELZON, Brigitte HATAT, Martin HERVE, Marie-José LATOUR, Dorothée LEGRAND, Karine MANNONI, Robyn ORLIN, Axel TUFFERY, Véronique VIALADE MARIN
Que sont devenues les névroses freudiennes ? Comment les analyse-t-on aujourd’hui. Pourquoi Lacan fait-il de la névrose hystérique - et il ne le fait pas pour les autres névroses – un discours qui fonde un lien social spécifique ? Quelle modification apporte l’analyse à une névrose ? Lacan l’a d’abord conçue comme une coupure sur le tore de la névrose par laquelle l’interprétation fait chuter l’objet de fantasme. Qu’en advient-il avec le nœud borroméen où c’est sur le symptôme que porte l’interprétation ? Et que font les psychanalystes de ce qui leur reste de leur névrose ?