Avec la participation de Pascale AMBROISE, Laurence BARRER, Annik BEAULIEU, Patrick BINISTI, Michael CHOCRON, Graciela C. CRESPIN, Olivier DURIS, Bruno FALISSARD, Claire FAVROT-MEUNIER, Tamara GUENOUN, Karina HACKEMBRUCH-TOURN, Fabien JOLY, Marie-Christine LAZNIK, Chantal LHEUREUX-DAVIDSE, Claudia MASCARENHAS, Dominique MAZEAS, Mariangela MENDES DE ALMEIDA, Lisa OUSS-RYNGAERT, Erika PARLATO-OLIVEIRA, Maria Cécilia PEREIRA DA SILVA, Pierrette POYET, Camila SABOIA, Catherine SAINT-GEORGES, Monica SANTOLALLA, Geneviève SCHNEIDER, Hélène SUAREZ-LABAT, Bernard TOUATI, Anne VAILLANT-JUTEAU, Nora WOSCOBOINIK DE SCHEIMBERG
Dans le champ de la psychopathologie – en particulier psychanalytique - les cliniciens et les chercheurs qui s’intéressent aux troubles du spectre autistique se doivent d’être dans une posture d’ouverture à l’inattendu, et non pas dans une simple démarche de vérification d’attendus à confirmer ou à infirmer. Plus que d’hypothèses posées a priori, c’est dans le terreau des faits cliniques que s’enracinent de nouvelles pistes de réflexion éclairant le fonctionnement de chaque patient et de nouvelles perspectives d’élargissement des connaissances.
Ce dialogue entre la clinique et la recherche est la condition même de l’innovation, de l’invention et de la créativité, tant du point de vue de l’évaluation que des dispositifs de soins, que tous les professionnels doivent aux patients et à leurs familles.
Ouvrage publié avec la CIPPA.