De quoi les psychanalystes devraient-ils avoir honte ?

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De quoi les psychanalystes devraient-ils avoir honte ?


Numéro 41 - Revue semestrielle

Avec la participation de Jean-Pierre CLÉRO, Claudie FRANGNE, Béatrice GAILLARD, Gérard GUILLERAULT Catherine GUMUSCHIAN, Francis HOFSTEIN, Jean-Marie JADIN, Guy LE GAUFEY, Séverine MATHELIN, Sylvain MAUBRUN, Dorothée MURARO, Albert NGUYEN, Stéphane SANCHEZ, Dominique SIMMONEY, Jean-Louis SOUS, Sylvie SéSé-LEGER, Simone WIENER Voir plus [+]

Qu’on le veuille ou non, l’opinion stigmatise la honte. Indice d’une parole muselée et signe de faiblesse, la honte et son corrélat de culpabilité embarrassent ou inhibent
quand, dit-on, la parole doit se libérer. Cette parole qu’on veut éhontée fait feu de tout bois sur la place publique. Elle va du commentaire intempestif au témoignage en
passant par la dénonciation. Est-elle alors la bonne nouvelle qui annonce l’émancipation exigible de nos sociétés démocratiques ? Lacan, justement, à rebours de la clameur
contemporaine, ne condamnait pas la honte. Il en fit même un éloge appuyé quand, dans L’envers de la psychanalyse, il l’opposait au pire, soit à l’impudence, et espérait que si les gens se pressaient aussi nombreux à son séminaire, c’est qu’il parvenait encore un peu à leur faire honte !

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Détails
Parution : 25 octobre 2018
EAN : 9782749261812
17x24, 232 pages
Essaim
2/2018
Thème : Psychanalyse

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