La parole / L'écrit
Numéro 16 - Revue semestrielle
Avec la participation de
David BERNARD,
Michel BOUSSEYROUX,
Nicolas BREMAUD,
Didier CASTANET
Christine DE CAMY,
Dominique DELCOURT ,
Monique DESORMEAUX,
Xavier DOUMEN,
François DUTRAIT,
Christophe FAURE,
Marie-Annick FAYDI,
Philippe FOREST,
Bruno GENESTE,
Luis IZCOVICH,
Danièle LACOUME,
Michel LAPEYRE,
Marie-José LATOUR,
Serge LAZARO,
Axel TUFFERY
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Lacan a d'abord privilégié la fonction de la parole (pleine), puis celle de l'écrit, à partir de l'instance de la lettre. Qu'est-ce que l'inconscient dans son rapport à la parole ? C'est la pensée, le pensé insu, inconscient. Entre ce pensé et le parlé, il y a un écart qui se retrouve entre le parlé et l'écrit. Dans cet écart, il y a l'inconscient en tant qu'il est de l'ordre de ce qui se lit avant tout. Mais d'écrit, dans l'inconscient, il y a plus que l'on n'écroit. Or, l'écrit, Lacan le rappelle, est fait pour ne pas se lire, et c'est ce pouvoir d'illecture qu'a aussi à maintenir le psychanalyste.
Dans la revue
L'en-je lacanien